Des entreprises, des organisations saines ou encore des environnements de travail sain. On voit de plus en plus apparaître certains termes rattachés au domaine de la santé au sein même de son travail. Derrière ces notions soucieuses de notre contexte de travail, qu’est-ce qu’on trouve concrètement ? Que font les entreprises qui font la promotion de leurs actions en interne en faveur de la santé de leurs collaborateurs ?
Sensibiliser pour prévenir les risques psychosociaux
Il faut d’abord définir ce qu’est un environnement de travail sain. En suivant les dires de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : il s’agit des entreprises qui prennent en considération les risques psychosociaux au travail, mais donnent également des moyens aux employés de prendre des bonnes habitudes en matière de santé dans l’environnement de travail mais également au quotidien.
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Les politiques de prévention ont intégré depuis longtemps le fait que les entreprises devaient initier ce type d’action en matière de responsabilité sociale et de ressources humaines. L’objectif de ces politiques est de sensibiliser les structures professionnelles afin que la notion de bien-être soit complètement intégrée à la gestion des équipes et des hommes.
Agir pour prévenir les risques en matière de santé au travail
Pour impulser ce type d’initiatives, les entreprises ont le choix des armes. Certaines entreprises encouragent leurs collaborateurs à pratiquer une activité sportive pendant les heures de travail. Pendant une heure, les employés vont faire du sport ensemble, ce qui est très important pour l’esprit d’équipe. En faveur de la prévention des risques psychosociaux d’autres entreprises réalisent des menus dégustation à la cafétéria. Une opportunité de mettre en avant des fruits que nous n’avons pas l’habitude de consommer ou encore des manières surprenantes de préparer les légumes.
Le concept d’entreprise saine qui lutte de plus en plus contre les problèmes de stress au travail se développe dans L’Union Européenne. Les résultats de recherches récentes montrent qu’entre 50 et 60% d’une journée de travail peut être perdue à cause de l’angoisse et risques psychosociaux vécus par certains salariés.